Le point de non retour est atteint
Hier, la société mégevane des remontées mécaniques #SRMM, dont les actionnaires sont la Compagnie du Mont-Blanc 55%, la SFHM filiale du groupe Rothschild 10%, la commune de MEGEVE via sa SEM MEGEVE développement, a engagé une énième procédure devant le Tribunal administratif cette fois-ci en #REFERESUSPENSION pour empêcher :
- L’application du transfert de gestion de la télécabine de la Princesse et des remontées mécaniques de #DEMIQUARTIER à la commune de #SAINTGERVAIS tel que voulu par les élus des deux communes,
- Qu’au 01/06/2025, la procédure du choix d’un nouveau délégataire pour cette partie de concession aboutisse.
Des conséquences dramatiques à venir
Si le 27 mars la SARMM obtient satisfaction, ce sera la fin pour longtemps du fonctionnement des remontées mécaniques de ce domaine des Crêtes : télécabines du mont d’Arbois MEGEVE, de la Princesse, remontées mécaniques des étudiants, de l’idéal …. car il faut près de 18 mois pour mener à bien une nouvelle procédure.
Les conséquences seront dramatiques pour les habitants de MEGEVE, les moniteurs de ski, les employés des remontées mécaniques, ceux des commerces, les hôteliers….
La SARMM en sera responsable comme tous ceux qui ont refusé d’admettre la réalité des faits qui a abouti à l’échec de la procédure qui devait s’achever le 27/03/2024 par la désignation d’un nouvel exploitant.
Les élus des communes de DEMI-QUARTIER et de SAINT-GERVAIS ont toujours été droits dans leurs bottes et toujours maintenu les mêmes versions et positions.
Ce qui se passe aujourd’hui est extrêmement grave !
- Je me suis battu quasiment seul jusqu’à présent pour faire respecter le droit,
- J’ai été même condamné pour des parodies que je n’ai pas faites et je vais devoir payer 2.750 € d’amende et frais et 1€ de dommages et intérêts au maire de MEGEVE qui m’a en plus avoué qu’elle n’était pas « réseaux sociaux », et alors même de plus de 6.000 personnes ont vu et partagé ces parodies et que jamais leurs auteurs n’ont été recherchés,
- Je viens d’être mis en examen dans le cadre d’une procédure une fois de plus engagée par la SARMM parce que j’ai écrit que ne faisant pas d’investissements, ils gardaient la caisse pour leurs actionnaires d’autant plus qu’ils ne reversaient aucune recettes aux autres exploitants du domaine Evasion.
- J’assumerai une fois encore et je paierai si je dois payer.